LA COVID 19
Bulletin Bulletin du 9 juin
EODY: 9 "cas possibles" d'hépatite aiguë d'étiologie
inconnue chez l'enfant
Quatre
nouveaux cas d'enfants qui répondent aux critères du "cas
possible" d'hépatite aiguë d'étiologie inconnue, selon la définition
de l'Organisation mondiale de la santé, ont été recensés en Grèce pays au
cours des 15 derniers jours, selon le rapport épidémiologique de
l'Organisation nationale de la santé publique (EODY). Le premier concerne
un enfant de 4,5 ans qui a présenté des symptômes d'ictère, sans autres
symptômes, et des analyses de laboratoire ont révélé des transaminases
élevées > 500 UI/ml, sans signe d'infection ou autre cause justifiant
cette augmentation. L'enfant est hospitalisé, son état clinique s'améliore
sans avoir complètement récupéré et son état général est bon. Les trois
autres enfants, âgés de 12, 6 et 5,5 ans, présentaient des symptômes
gastro-intestinaux et une augmentation des transaminases, qui a été
détectée après un test de laboratoire. Tous les enfants ont été soignés,
leur état s'est amélioré et ont pu quitter l'hôpital en excellent état. Au
total, 9 "cas possibles" d'hépatite aiguë d'étiologie inconnue
chez les enfants sont enregistrés Grèce à ce jour. L'EODY rapporte qu'au
cours des dernières semaines, il y a eu une baisse constante des incidents
à l'échelle internationale. Suite à l'annonce d'une augmentation des cas
d'hépatite aiguë d'étiologie inconnue au Royaume-Uni, 650 cas similaires
ont été signalés dans 33 pays à travers le monde.
Covid-19: La Grèce enregistre 4.496 nouveaux cas, 13 décès et
115 patients intubés
La Grèce
enregistrait mercredi 4.496 nouveaux cas confirmés de coronavirus,
a annoncé l'Organisation nationale de la santé publique (EODY). Le nombre
total de cas confirmés en Grèce depuis le début de la pandémie s'élevait à
3.438.275 (variation quotidienne +0,2%). Le nombre d'éventuels cas de
réinfection recensés au cours des dernières 24h est de 561, alors que le
nombre total depuis de la pandémie est estimé à 139.601 (3,9% du total des
résultats positifs). 13 nouveaux décès ont été enregistrés, alors que la
Grèce compte 29.966 décès depuis le début de l'épidémie. 95,6% d'entre eux
avaient une affection sous-jacente et/ou étaient âgés de 70+ ans. En outre,
115 patients au total sont intubés dans les hôpitaux du pays. Leur âge
moyen est de 70 ans, alors que 92,2% d'entre eux souffrent d'une affection
sous-jacente ou sont âgés de 70+ ans. Parmi eux, 54 (46,96%) sont non
vaccinés ou partiellement vaccinés et 61 (53,04%) sont entièrement
vaccinés. Au total, 4.691 patients ont pu quitter les USI depuis le début
de la pandémie en Grèce. De plus, 100 nouveaux patients Covid-19 ont été
admis à l'hôpital au cours des dernières 24 heures (variation quotidienne
de +13,64%). L'admission moyenne de patients atteints de Covid-19 dans les
hôpitaux au cours des 7 derniers jours était de 89. L'âge médian des
nouvelles infections est de 37 ans, tandis que l'âge médian des personnes
décédées est de 80 ans.
Bulletin du 8 juin
Covid-19: La Grèce enregistre 5.610 nouveaux cas, 19 décès et
120 patients intubés
La Grèce
enregistrait mardi 5.610 nouveaux cas confirmés de coronavirus,
a annoncé l'Organisation nationale de la santé publique (EODY). Le nombre
total de cas confirmés en Grèce depuis le début de la pandémie s'élevait à
3.478.779 (variation quotidienne +0,2%). Le nombre d'éventuels cas de
réinfection recensés au cours des dernières 24h est de 679, alors que le
nombre total depuis de la pandémie est estimé à 139.040 (3,8% du total des
résultats positifs). 19 nouveaux décès ont été enregistrés, alors que la
Grèce compte 29.951 décès depuis le début de l'épidémie. 95,6% d'entre eux
avaient une affection sous-jacente et/ou étaient âgés de 70+ ans. En outre,
120 patients au total sont intubés dans les hôpitaux du pays. Leur âge
moyen est de 70 ans, alors que 92,5% d'entre eux souffrent d'une affection
sous-jacente ou sont âgés de 70+ ans. Parmi eux, 58 (48,33%) sont non
vaccinés ou partiellement vaccinés et 62 (51,67%) sont entièrement
vaccinés. Au total, 4.689 patients ont pu quitter les USI depuis le début
de la pandémie en Grèce. De plus, 88 nouveaux patients Covid-19 ont été
admis à l'hôpital au cours des dernières 24 heures (variation quotidienne
de -7,37%). L'admission moyenne de patients atteints de Covid-19 dans les
hôpitaux au cours des 7 derniers jours était de 87. L'âge médian des
nouvelles infections est de 37 ans, tandis que l'âge médian des personnes
décédées est de 80 ans.
Bulletin du 3 juin
Covid-19: La Grèce enregistre 3.769 nouveaux cas, 9 décès et
131 patients intubés
La Grèce
enregistrait jeudi 3.769 nouveaux cas confirmés de coronavirus,
a annoncé l'Organisation nationale de la santé publique (EODY). Le nombre
total de cas confirmés en Grèce depuis le début de la pandémie s'élevait à
3.461.025 (variation quotidienne +0,1%). Le nombre d'éventuels cas de
réinfection recensés au cours des dernières 24h est de 406, alors que le
nombre total depuis de la pandémie est estimé à 136.780 (3,8% du total des
résultats positifs). 9 nouveaux décès ont été enregistrés, alors que la
Grèce compte 29.869 décès depuis le début de l'épidémie. 95,6% d'entre eux
avaient une affection sous-jacente et/ou étaient âgés de 70+ ans. En outre,
131 patients au total sont intubés dans les hôpitaux du pays. Leur âge
moyen est de 71 ans, alors que 92,4% d'entre eux souffrent d'une affection
sous-jacente ou sont âgés de 70+ ans. Parmi eux, 64 (48,85%) sont non
vaccinés ou partiellement vaccinés et 67 (51,15%) sont entièrement
vaccinés. Au total, 4.685 patients ont pu quitter les USI depuis le début de
la pandémie en Grèce. De plus, 94 nouveaux patients Covid-19 ont été admis
à l'hôpital au cours des dernières 24 heures (variation quotidienne de
+13,25%). L'admission moyenne de patients atteints de Covid-19 dans les
hôpitaux au cours des 7 derniers jours était de 89. L'âge médian des
nouvelles infections est de 37 ans, tandis que l'âge médian des personnes
décédées est de 80 ans.
Bulletin du 2 juin
L'obligation de port du masque est levée à partir du 1er juin
L'obligation
de porter des masques de protection dans tous les espaces publics
intérieurs et extérieurs est levée à partir du 1er juin. Les masques ne
sont également plus obligatoires dans les avions et dans les moyens de
transport où les sièges sont numérotés, comme les trains interurbains et les autocars longue distance KTEL du pays. Il en va de
même pour leur personnel. Cependant, les masques seront toujours
obligatoires dans tous les moyens de transport public urbain (bus,
trolleybus, métro, tramway et trains de banlieue), ainsi que dans les hôpitaux,
les cliniques de santé et les établissements de soins pour personnes âgées.
Les masques sont également obligatoires dans les écoles lors des examens.
Covid-19: La Grèce enregistre 4.026 nouveaux cas, 9 décès et
130 patients intubés
La Grèce
enregistrait mercredi 4.026 nouveaux cas confirmés de coronavirus,
a annoncé l'Organisation nationale de la santé publique (EODY). Le nombre
total de cas confirmés en Grèce depuis le début de la pandémie s'élevait à
3.457.256 (variation quotidienne +0,1%). Le nombre d'éventuels cas de
réinfection recensés au cours des dernières 24h est de 490, alors que le
nombre total depuis de la pandémie est estimé à 136.374 (3,8% du total des
résultats positifs). Le Rt sur la base des cas
est estimé à 0,89. 9 nouveaux décès ont été enregistrés, alors que la Grèce
compte 29.857 décès depuis le début de l'épidémie. 95,6% d'entre eux
avaient une affection sous-jacente et/ou étaient âgés de 70+ ans. En outre,
130 patients au total sont intubés dans les hôpitaux du pays. Leur âge moyen
est de 71 ans, alors que 93,1% d'entre eux souffrent d'une affection
sous-jacente ou sont âgés de 70+ ans. Parmi eux, 62 (47,69%) sont non
vaccinés ou partiellement vaccinés et 68 (52,31%) sont entièrement
vaccinés. Au total, 4.685 patients ont pu quitter les USI depuis le début
de la pandémie en Grèce. De plus, 83 nouveaux patients Covid-19 ont été
admis à l'hôpital au cours des dernières 24 heures (variation quotidienne
de +5,06%). L'admission moyenne de patients atteints de Covid-19 dans les
hôpitaux au cours des 7 derniers jours était de 89. L'âge médian des
nouvelles infections est de 36 ans, tandis que l'âge médian des personnes
décédées est de 80 ans.
Bulletin du 1er juin
Covid-19: La Grèce enregistre 5.080 nouveaux cas, 12 décès et
130 patients intubés
La Grèce
enregistrait mardi 5.080 nouveaux cas confirmés de coronavirus,
a annoncé l'Organisation nationale de la santé publique (EODY). Le nombre
total de cas confirmés en Grèce depuis le début de la pandémie s'élevait à
3.453.229 (variation quotidienne +0,2%). Le nombre d'éventuels cas de
réinfection recensés au cours des dernières 24h est de 570, alors que le
nombre total depuis de la pandémie est estimé à 135.884 (3,8% du total des
résultats positifs). 12 nouveaux décès ont été enregistrés, alors que la
Grèce compte 29.845 décès depuis le début de l'épidémie. 95,6% d'entre eux
avaient une affection sous-jacente et/ou étaient âgés de 70+ ans. En outre,
130 patients au total sont intubés dans les hôpitaux du pays. Leur âge
moyen est de 72 ans, alors que 93,1% d'entre eux souffrent d'une affection
sous-jacente ou sont âgés de 70+ ans. Parmi eux, 63 (48,46%) sont non
vaccinés ou partiellement vaccinés et 63 (51,54%) sont entièrement
vaccinés. Au total, 4.683 patients ont pu quitter les USI depuis le début
de la pandémie en Grèce. De plus, 79 nouveaux patients Covid-19 ont été
admis à l'hôpital au cours des dernières 24 heures (variation quotidienne
de -19,39%). L'admission moyenne de patients atteints de Covid-19 dans les
hôpitaux au cours des 7 derniers jours était de 91. L'âge médian des
nouvelles infections est de 36 ans, tandis que l'âge médian des personnes
décédées est de 80 ans.
Bulletin du 31 mai
Une quatrième dose de vaccin Covid-19 est probable, déclare le
ministre de la Santé
Une
quatrième dose d'un vaccin contre le Covid-19 sera probablement nécessaire,
notamment pour les groupes vulnérables, a déclaré le ministre de la Santé, Thanos Plevris, lundi à SKAI
TV. Il a déclaré que le gouvernement et ses homologues européens
envisageaient un vaccin "saisonnier", comme celui contre la
grippe saisonnière, sans avoir à inviter à plusieurs reprises la population
à se faire vacciner. Il a estimé qu'à l'approche des mois d'automne, la
vaccination de la population, notamment la population vulnérable, sera une
question qui se posera. M. Plevris a également
indiqué que tous les pays de l'UE ont décidé de reporter les livraisons
initialement prévues pour l'été jusqu'en septembre car les laboratoires
pharmaceutiques considèrent qu'"à ce moment-là [...] nous aurons un
vaccin beaucoup plus efficace contre l'Omicron". Que cette vaccination
soit universelle ou cible des groupes spécifiques, a-t-il ajouté, était une
décision qui serait prise par les organes scientifiques appropriés. Le
ministre de la Santé a conclu en soulignant que la pandémie n'était pas
terminée, malgré une désescalade en Europe, notant que les scientifiques et
l'ECDC indiquent qu'il faut être très prudent,
car à l'automne il y aura certainement une pression.
Covid-19: La Grèce enregistre 2.400 nouveaux cas, 21 décès et
130 patients intubés
La Grèce
enregistrait lundi 2.400 nouveaux cas confirmés de coronavirus,
a annoncé l'Organisation nationale de la santé publique (EODY). Le nombre
total de cas confirmés en Grèce depuis le début de la pandémie s'élevait à
3.447.938 (variation quotidienne +0,1%). Le nombre d'éventuels cas de
réinfection recensés au cours des dernières 24h est de 296, alors que le
nombre total depuis de la pandémie est estimé à 135.114 (3,8% du total des
résultats positifs). 21 nouveaux décès ont été enregistrés, alors que la
Grèce compte 29.828 décès depuis le début de l'épidémie. 95,6% d'entre eux
avaient une affection sous-jacente et/ou étaient âgés de 70+ ans. En outre,
130 patients au total sont intubés dans les hôpitaux du pays. Leur âge
moyen est de 72 ans, alors que 93,1% d'entre eux souffrent d'une affection
sous-jacente ou sont âgés de 70+ ans. Parmi eux, 62 (47,69%) sont non
vaccinés ou partiellement vaccinés et 68 (52,31%) sont entièrement
vaccinés. Au total, 4.683 patients ont pu quitter les USI depuis le début de
la pandémie en Grèce. De plus, 98 nouveaux patients Covid-19 ont été admis
à l'hôpital au cours des dernières 24 heures (variation quotidienne de
+12,64%). L'admission moyenne de patients atteints de Covid-19 dans les
hôpitaux au cours des 7 derniers jours était de 89. L'âge médian des
nouvelles infections est de 36 ans, tandis que l'âge médian des personnes
décédées est de 80 ans.
Bulletin du 27 mai
Covid-19: La Grèce enregistre 4.048 nouveaux cas, 13 décès et
141 patients intubés
La Grèce
enregistrait jeudi 4.048 nouveaux cas confirmés de coronavirus,
a annoncé l'Organisation nationale de la santé publique (EODY). Le nombre
total de cas confirmés en Grèce depuis le début de la pandémie s'élevait à
3.436.046 (variation quotidienne +0,1%). Le nombre d'éventuels cas de
réinfection recensés au cours des dernières 24h est de 405, alors que le
nombre total depuis de la pandémie est estimé à 133.752 (3,7% du total des
résultats positifs). 13 nouveaux décès ont été enregistrés, alors que la
Grèce compte 29.756 décès depuis le début de l'épidémie. 95,6% d'entre eux
avaient une affection sous-jacente et/ou étaient âgés de 70+ ans. En outre,
141 patients au total sont intubés dans les hôpitaux du pays. Leur âge
moyen est de 72 ans, alors que 92,2% d'entre eux souffrent d'une affection
sous-jacente ou sont âgés de 70+ ans. Parmi eux, 66 (46,81%) sont non
vaccinés ou partiellement vaccinés et 73 (53,19%) sont entièrement
vaccinés. Au total, 4.674 patients ont pu quitter les USI depuis le début
de la pandémie en Grèce. De plus, 94 nouveaux patients Covid-19 ont été
admis à l'hôpital au cours des dernières 24 heures (variation quotidienne
de -3,09%). L'admission moyenne de patients atteints de Covid-19 dans les
hôpitaux au cours des 7 derniers jours était de 86. L'âge médian des
nouvelles infections est de 36 ans, tandis que l'âge médian des personnes
décédées est de 80 ans.
Bulletin du 25 mai
Covid-19: La Grèce enregistre 5.588 nouveaux cas, 11 décès et
149 patients intubés
La Grèce
enregistrait mardi 5.588 nouveaux cas confirmés de coronavirus,
a annoncé l'Organisation nationale de la santé publique (EODY). Le nombre
total de cas confirmés en Grèce depuis le début de la pandémie s'élevait à
3.427.857 (variation quotidienne +0,2%). Le nombre d'éventuels cas de
réinfection recensés au cours des dernières 24h est de 606, alors que le
nombre total depuis de la pandémie est estimé à 132.854 (3,7% du total des
résultats positifs). 11 nouveaux décès ont été enregistrés, alors que la
Grèce compte 29.725 décès depuis le début de l'épidémie. 95,6% d'entre eux
avaient une affection sous-jacente et/ou étaient âgés de 70+ ans. En outre,
149 patients au total sont intubés dans les hôpitaux du pays. Leur âge
moyen est de 71 ans, alors que 92,6% d'entre eux souffrent d'une affection
sous-jacente ou sont âgés de 70+ ans. Parmi eux, 71 (47,65%) sont non
vaccinés ou partiellement vaccinés et 78 (52,35%) sont entièrement
vaccinés. Au total, 4.671 patients ont pu quitter les USI depuis le début
de la pandémie en Grèce. De plus, 67 nouveaux patients Covid-19 ont été
admis à l'hôpital au cours des dernières 24 heures (variation quotidienne
de -20,24%). L'admission moyenne de patients atteints de Covid-19 dans les
hôpitaux au cours des 7 derniers jours était de 91. L'âge médian des
nouvelles infections est de 36 ans, tandis que l'âge médian des personnes
décédées est de 80 ans.
POLITIQUE INTERIEURE
Bulletin du 9 juin
La question démographique exige que toutes les forces sociales
se réunissent, déclare le premier ministre
La
question démographique est une affaire nationale, existentielle, qui
nécessité le renoncement à tout point de vue partisan mais aussi la
mobilisation de toutes les forces sociales du pays, a déclaré le premier
ministre, Kyriakos Mitsotakis, s'adressant
mercredi à la conférence "Démographie - Le grand défi", organisée
par Next is Now et Dome Consulting. Le
premier ministre a assuré que l'Etat travaillait sur cette question.
"Nous ne parlons pas d'une menace pour notre identité nationale, mais
d'une atteinte directe à la capacité du pays à produire de la richesse sur
le plan personnel et collectif, maintenant ainsi le tissu fort qui unit les
citoyens. Dès lors, le risque est à la fois d'actualité et décisif", a
noté M. Mitsotakis. Suite à la nomination d'un portefeuille ministériel
compétent pour la démographie et les questions familiales, le premier
ministre a annoncé la création d'un Conseil national pour coordonner toutes
les actions et initiatives connexes, qui s'exécutent horizontalement à
travers les services et ministères concernés. Une mesure visant à prolonger
les heures d'ouverture des crèches et des écoles primaires jusqu'à 18h00 -
y compris le temps d'étude pour les enfants - est maintenant en phase
finale de préparation, a-t-il indiqué, tandis qu'une campagne d'embauche de
gynécologues et de pédiatres pour les centres de santé, en particulier sur
les îles, étaient en cours pour soutenir les familles dans ces régions.
"C'est un défi particulier pour une population vieillissante", a
noté M. Mitsotakis, soulignant qu'il a invité à plusieurs reprises les partis
politiques au Parlement à s'engager dans une coopération entre les partis
pour parvenir à une approche commune de ces problèmes communs. "Nous
ne pouvons faire face à la menace que si nous l'affrontons", a-t-il
ajouté, affirmant que le gouvernement propose une approche multiforme de la
question, allant des incitations financières et fiscales pour inverser la
fuite des cerveaux, des nouvelles positives sur les nouveaux
investissements, aux incitations pour la politique du logement bon marché à
travers un programme intégré. Il a conclu en évoquant la migration légale
et leur intégration dans la société grecque comme une solution au problème
de pénurie de main-d'oeuvre dans des secteurs tels que l'agriculture et la
construction, tout en soulignant que la nouvelle politique ne doit
"laisser personne de côté". "Les jeunes Grecs ne devraient
pas non plus être incapables de trouver du travail, et il ne devrait pas y
avoir de conditions de travail médiévales pour les travailleurs étrangers.
Un pays d'âge moyen peut être renouvelé avec des gens qui embrassent ses
valeurs et qui peuvent avoir et soutenir des familles ici. Je ne parle pas
d'une question facile, mais nous devons l'aborder avec responsabilité,
sérieux et courage, mais aussi avec la confiance en soi nationale et la
confiance dans une culture qui perdure depuis des siècles", a souligné
le premier ministre. Le premier ministre a noté que les chiffres étaient
"impitoyables" et montraient que, d'ici 2050, la Grèce comptera
moins de neuf millions d'habitants et qu'un sur trois aura plus de 65 ans.
Il a évoqué les initiatives gouvernementales visant à soutenir les nouveaux
parents, telles que les congés subventionnés pour les deux parents et la
protection contre le licenciement, ainsi que le financement des crèches sur
les lieux de travail et les programmes de "nounou de quartier" et
autres. Un autre enjeu clé, a-t-il ajouté, serait d'assurer l'accès à un
logement abordable pour les jeunes couples. Concernant les pénuries de
main-d'oeuvre affectant des secteurs spécifiques, M. Mitsotakis a déclaré
que la Grèce testait l'application pilote d'accords bilatéraux avec
d'autres pays disposant d'un grand nombre de travailleurs pour le transfert
temporaire de ces travailleurs pour de courtes périodes, pour des secteurs
qui avaient de grandes difficultés à trouver du personnel, comme les
ouvriers agricoles.
Bulletin du 8 juin
Mitsotakis: Nous pourrions travailler avec la Turquie pour
résoudre la crise alimentaire
"Je
voudrais remercier tout le personnel scientifique du pays qui nous a aidés
pendant ces années où nous avons combattu le coronavirus",
a déclaré mardi le premier ministre, Kyriakos
Mitsotakis, lors d'une conférence sur "Le système de santé dans la
nouvelle ère". Il a également évoqué les relations avec la Turquie
voisine et a noté que les deux pays pourraient travailler ensemble pour
aider à résoudre la crise alimentaire actuelle. Concernant les 20 millions
de tonnes de céréales bloquées en Ukraine, qui ne peuvent être transportées
que par voie maritime, il a déclaré que la Turquie a un rôle à jouer en mer
Noire, tout comme la Grèce avec l'une des plus grandes flottes maritimes du
monde. "Regardons les domaines où nous pourrions, sous la direction de
l'ONU, travailler ensemble et offrir nos services", a-t-il noté.
Concernant la pandémie, il a déclaré qu'elle se trouvait désormais dans une
phase de récession importante, en raison de taux de vaccination et
d'immunité élevés, principalement dus au variant Omicron. "Nous n'en
avons pas encore fini avec la pandémie, il est possible qu'il y ait une
nouvelle vague à l'automne. Les mesures ne seront pas horizontales. Elles
se concentreront sur les plus vulnérables. Nous attendons les instructions
pour la quatrième dose. La vaccination régulière ne doit pas se réduire. Nous
devons écouter les conseils des experts et protéger les plus vulnérables
sans adopter de mesures horizontales", a déclaré le premier ministre.
Faisant le point sur la manière dont la pandémie a été gérée, il a déclaré
qu'en termes de surmortalité, la Grèce se classait au 12e rang parmi les 27
de l'UE, même si elle avait la deuxième population la plus âgée d'Europe et
un système de santé national souffrant d'un sous-financement
chronique. "Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de
dysfonctionnements importants au sein du système. Nous avons pris des
mesures rapides à coût élevé au début de la pandémie, nous avons mené un
programme de vaccination exemplaire. Personne ne s'attendait à ce que nous
atteignions 83% de la population adulte. Nous avons doublé les unités de
soins intensifs et embauché du personnel médical pour renforcer le système
national de santé", a-t-il déclaré, ajoutant : "Il y a des
lacunes dans les soins de santé primaires. C'est une opportunité de
procéder à des interventions importantes dans le système national de santé
et de ne pas laisser cette opportunité se perdre. Le nouveau système
national de santé est un pari pour moi". Interrogé sur les relations gréco-turques, le premier ministre a déclaré :
"C'est un développement désagréable car j'ai moi aussi eu l'impression
après avoir rencontré le président Erdogan que
nous avions trouvé un cadre de compréhension mutuelle. Nous avons eu une
série de survols sans précédent et un retour constant vers des arguments
impensables d'une prétendue souveraineté réduite des îles grecques. Cette
rhétorique ne peut nous mener nulle part. L'obligation de notre pays est de
signaler cette provocation à nos alliés et de rechercher leur soutien,
qu'il s'agisse des Etats-Unis ou de l'UE. Ce
soutien a été accordé publiquement et sans astérisques ni notes de bas de
page". "Nous avons connu des périodes de tension accrue dans la
rhétorique dans le passé. Je prie, j'espère et j'encourage ouver-tement la Turquie à ce que cette rhétorique ne se
traduise pas par une plus grande tension sur le terrain. La Grèce est, quoi
qu'il en soit, prête à défendre sa souveraineté et ses droits
souverains", a-t-il souligné.
Bulletin du 2 juin
Skertsos: Des politiques pour inverser le
"brain drain"
Le
ministre d'Etat, Akis Skertsos,
responsable de la coordination de l'oeuvre gouvernementale, s'est exprimé
mercredi sur la chaîne de télévision publique ERT1 concernant l'inversion
du phénomène du "brain drain" (fuite
des cerveaux). M. Skertsos a reconnu que les
jeunes doivent faire face à de nombreux problèmes en Grèce car le pays
"n'était pas un endroit hospitalier" depuis de nombreuses années,
voire des décennies, ajoutant que c'était l'une des principales raisons
pour lesquelles tous ces jeunes étaient partis. "Ce n'étaient pas
seulement des raisons financières, mais aussi des raisons qui ont à voir
avec les opportunités, la méritocratie, l'autonomisation des jeunes dans
les premiers pas de la vie familiale ou professionnelle. Le besoin de
sentir que l'Etat soutient leurs efforts", a-t-il ajouté. Il s'est
ensuite référé aux mesures et incitations qui visent à augmenter le revenu
disponible des citoyens, en particulier des plus jeunes. "Je ne sais
pas si c'est bien connu, quelqu'un qui rentre en Grèce depuis l'étranger a
un impôt sur le revenu inférieur de 50% pour les sept prochaines années. Il
doit savoir qu'il a une prévisibilité dans sa vie, il doit savoir que les
revenus, bien que plus élevés à l'étranger, seront également à un bon
niveau en Grèce", a-t-il noté.
Bulletin du 1er juin
Misotakis: Le premier salaire minimum de 713
euros crédité aujourd'hui
"Aujourd'hui,
le premier salaire minimum de 713 euros est crédité, augmenté de 50 euros
par mois. Il s'agit d'une augmentation de 10% du salaire minimum, qui est un
salaire supplémentaire par an", a déclaré mardi le premier ministre, Kyriakos Mitsotakis, dans une publication sur les
réseaux sociaux concernant l'augmentation du salaire minimum. "Un pas
de plus sur beaucoup qui restent encore à faire - et seront faits - pour
soulager les travailleurs et surtout les plus faibles d'entre eux",
a-t-il ajouté.
POLITIQUE ETRANGERE
Bulletin du 3 juin
Ikonomou: La politique étrangère de la
Grèce est une politique de cohérence, de stabilité et de principes
Outre le
sixième paquet de sanctions contre la Russie, la réunion extraordinaire du
Conseil européen a décidé de donner des instructions claires à la
Commission européenne pour qu'elle examine les moyens de découpler le prix
de l'électricité et du gaz naturel, a déclaré le porte-parole du
gouvernement, Yiannis Ikonomou,
lors d'un point de presse jeudi. Cela comprenait le plafonnement des prix
de gros du gaz naturel, une idée suggérée par le premier ministre Kyriakos Mitsotakis qui bénéficie désormais d'un
soutien plus large, a-t-il ajouté. En ce qui concerne les relations avec la
Turquie, M. Ikonomou a souligné que la politique
étrangère de la Grèce était une politique "de cohérence, de stabilité
et de principes" tels que le respect du droit international, alors
qu'elle ne reculerait pas sur les questions concernant sa souveraineté et
ses droits souverains. Il a décrit la Grèce comme un facteur de stabilité
et de paix dans la région, affirmant que cela se reflétait dans le soutien
de ses alliés. Concernant RepowerEU et l'utilisation
des fonds non dépensés de la Facilité pour la reprise et la résilience pour
financer la transition énergétique verte, il a souligné que la Grèce
réclamera activement sa juste part lorsque le processus de distribution
sera finalisé. Il a également noté le soutien de la Grèce aux efforts du
secrétaire général des Nations unies pour trouver une solution à la
question des plus de 20 millions de tonnes de céréales actuellement
bloquées en Ukraine en raison du blocus russe. En outre, le premier
ministre a informé ses homologues de l'UE au Conseil européen de
l'agressivité accrue de la Turquie ces dernières semaines, a ajouté M. Ikonomou, et a demandé que la question soit à nouveau
discutée lors du sommet régulier de juin si la Turquie persiste dans ce
comportement, afin qu'une condamnation claire et explicite puisse être
comprise dans ses conclusions. "La dernière chose dont notre région
sensible a besoin à un moment où la paix mondiale et la stabilité
internationale sont mises à l'épreuve, ce sont des sources de tension
supplémentaires", a déclaré le porte-parole, ajoutant que la Grèce
répondra toujours aux provocations de ses voisins avec calme et confiance
nationale, car elle a le droit international de son côté, avec ses alliés
et une capacité de dissuasion de plus en plus forte pour défendre la
souveraineté et les droits souverains du pays. Il a évoqué les déclarations
faites en faveur de la Grèce, telles que celles faites par le président
français Emmanuel Macron et l'éloignement clair
de l'Allemagne d'une politique des "distances égales" mercredi.
Le porte-parole du gouvernement allemand a déclaré que les tentatives de
contestation de la souveraineté des Etats-membres de l'UE n'étaient pas
acceptables, alors que tous les alliés de l'OTAN doivent être unis en ce
moment et s'abstenir de se provoquer les uns les autres.
Bulletin du 2 juin
Le chef de MeRA25 soumet une question d'actualité au premier
ministre sur les intentions américaines pour la guerre en Ukraine
Une
question d'actualité au premier ministre grec sur les intentions
américaines pour la guerre en Ukraine a été soumise mercredi par le
président du groupe parlementaire de MeRA25 et le secrétaire du parti, Yanis Varoufakis.
Précisément, parmi les questions-clé du chef du parti d'opposition figurent:
"Le premier ministre a-t-il été informé que les Etats-Unis visaient
une guerre de plusieurs années en Ukraine ? Son gouvernement est-il aligné
sur cet objectif ou [bien sur celui de] la France et l'Allemagne visant un
règlement diplomatique dans les plus brefs délais ?". Dans sa
question, M. Varoufakis cite une réunion des
ministres de la Défense de l'OTAN, le 26 avril à Ramstein
(Allemagne), indiquant que le secrétaire américain à la Défense, Lloyd
Austin, avait déclaré que l'objectif des Etats-Unis était d'aider l'Ukraine
à "gagner" ainsi que de "construire les capacités de défense
de l'Ukraine en gardant à l'esprit les défis de l'avenir". Plus
récemment, ajoute M. Varoufakis, "selon des
sources fiables, il y a eu une téléconférence des ministres de la Défense
des Etats-membres de l'OTAN durant laquelle M. Austin a expliqué à ses
homologues que pour les Etats-Unis, le scénario de base est désormais une
longue guerre en Ukraine qui durera plusieurs années. Dans le même temps,
un reportage du magazine Der Spiegel (27/5/2022) indique que les dirigeants
des "services secrets occidentaux" ne croient plus à une
éventuelle "victoire" ukrainienne, même lorsqu'elle est définie
comme "un retrait des troupes russes vers leurs positions d'avant le
24 février"". En attendant, "la divergence d'opinion au sein
de l'UE et de l'OTAN entre l'axe franco-allemand d'une part et les pays de
l'Europe de l'Est et de la Baltique d'autre part est flagrante", note
M. Varoufakis. Il appelle le premier ministre Kyriakos Mitsotakis a répondre "s'il est vrai que
le secrétaire américain à la Défense a informé, lors d'une conférence
téléphonique, ses homologues européens (dont son homologue grec) que le
scénario américain de base est une guerre lente et pluriannuelle - et non
une "victoire" de l'Ukraine d'ici un ou deux ans",
ajoutant: "Etes-vous en
désaccord avec l'idée que l'objectif américain d'une guerre prolongée va à
l'encontre des intérêts des peuples de l'UE et de l'Ukraine ? Enfin,
êtes-vous d'accord avec la stratégie Paris-Berlin
(en faveur d'un accord diplomatique avec le régime de Vl.
Poutine) ou avec la stratégie Washington-Varsovie-Tallinn,
etc. (poursuivre la guerre jusqu'à une "victoire finale" de
l'Ukraine)? Quel est le plan stratégique de votre gouvernement pour faire
face à l'impact de cette division des gouvernements européens en mer Egée
et en Méditerranée orientale ?".
ECONOMIE
Bulletin du 3 juin
Accord gréco-israélien pour renforcer
la coopération bilatérale dans les domaines de la science, de la
technologie, de l'innovation et de l'éducation
Un
accord entre la Grèce et Israël pour l'amélioration de la coopération
bilatérale dans les domaines de la science, de la technologie, de
l'innovation et de l'éducation a été signé jeudi par le ministre du
Développement et des Investissements, Adonis Georgiadis,
et la ministre israélienne de l'Innovation, de la Science et de la
Technologie, Orit Farkash
Hacohen. Suite à la réunion tenue jeudi au
ministère du Développement et des Investissements, une déclaration
conjointe a été publiée, cosignée par les deux ministres ainsi que la
ministre grecque de l'Education, Niki Kerameos. Selon la déclaration, les deux parties sont
convenues de renforcer davantage les accords bilatéraux multilatéraux
existants, y compris Horizon Europe et PRIMA, et de mettre en place des
groupes de travail conjoints pour mettre en oeuvre des projets qui
soutiennent le développement continu et le succès des éducateurs,
scientifiques, chercheurs et entrepreneurs et aider les start-ups
et les spin-off universitaires à se développer
dans des domaines stratégiques. "Les technologies de la santé et
médicales, l'agrotechnologie, les technologies de
l'information et de la communication (TIC), la numérisation, les
technologies de l'eau et bien d'autres font également partie de notre
coopération", notent les ministres, ajoutant: "Grâce à ce
partenariat, nous faciliterons l'émergence de davantage d'opportunités
commerciales pour les innovations qui se sont développées entre nos deux
pays, renforçant à la fois les économies grecque et israélienne et créant
des emplois de haute qualité. Les progrès que nous annonçons aujourd'hui
reposent sur la force de l'amitié historique et unique gréco-israélienne".
Bulletin du 2 juin
Eurostat: Le taux de chômage en Grèce est
passé à 12,7% en avril 2022, contre 12,2% en mars
Le taux
de chômage en Grèce est passé à 12,7% en avril 2022, contre 12,2% en mars,
selon les données d'Eurostat publiées mercredi.
En avril 2022, le taux de chômage dans la zone euro était de 6,8%, stable
par rapport à mars et en baisse par rapport à 8,2% en avril 2021. Le taux
de chômage dans l'UE était de 6,2% en avril 2022, également stable par
rapport à mars et en baisse par rapport au taux de 7,5% en avril 2021. Eurostat estime que 13,264 millions d'hommes et de
femmes dans l'UE, dont 11,181 millions dans la zone euro, étaient au
chômage en avril 2022. Les taux de chômage les plus bas sont enregistrés en
Allemagne et en Pologne (3%) et aux Pays-Bas (3,2%). Le pourcentage le plus
élevé est enregistré en Espagne (13,3%), suivie de la Grèce (12,7%). En ce
qui est du chômage des jeunes (moins de 25 ans), en avril 2022, il était de
13,9% tant dans l'UE que dans la zone euro, contre 14% (UE et zone euro).
En Grèce, le chômage des jeunes a atteint 36,8% en avril contre 26% en
mars. La Grèce a le taux de chômage des jeunes le plus élevé de l'UE,
suivie de l'Espagne à 28,9% et de l'Italie à 23,8%.
Bulletin du 25 mai
ENFIA: 7.206.608 propriétaires détiennent des biens immobiliers
totalisant 761,38 milliards d'euros, plus de la moitié en Attique
Des
biens immobiliers d'un montant de 761,38 milliards d'euros sont détenus par
7.206.608 personnes physiques et morales, selon les données statistiques de
l'ENFIA (taxe spéciale sur la propriété
immobilière) de 2022, publiées par l'Autorité fiscale indépendante AADE.
L'ensemble des biens immobiliers en 2021 s'élevait à 643 milliards d'euros
et l'augmentation significative qui en résulte est due à la réévaluation
des valeurs légales de l'immobilier. L'analyse des données montre que les
propriétaires qui résident en Attique, soit 2.557.631, possèdent des biens
s'élevant à 403 milliards d'euros, soit 53% du total. Les propriétaires qui
habitent en Attique, malgré le fait que la valeur des biens immobiliers, du
fait de la réévaluation, a augmenté de 24,64%, ont vu le montant de l'ENFIA cette année diminuer de 8,47%. Ainsi, le montant
totalise 1,2 milliard d'euros contre 1,31 milliard d'euros en 2021. La plus
forte baisse de l'ENFIA a été constatée par les
habitants des îles Ioniennes. Ceci malgré le fait que la valeur de leurs
propriétés a augmenté de 15% après réévaluation. Précisément, la taxe a été
réduite de 20,95% par rapport à l'année dernière. Suit la Crète, avec une
diminution de l'ENFIA de 19,09% et la région
d'Egée du Nord avec une baisse de 19,06% de l'ENFIA.
Selon les données rendues publiques par l'AADE:
L'impôt total que 6.166.701 propriétaires (personnes physiques et morales)
sont tenus de payer cette année s'élève à un total de 2,254 milliards
d'euros et est réduit de 333 millions d'euros ou 12,8% par rapport à 2021.
- 7.135.156 personnes physiques doivent payer un impôt principal de 2,141
milliards d'euros au total. Après les remises de 366,167 millions d'euros
et les exonérations fiscales de 51,46 millions d'euros, le montant qui doit
être payé par 6.105.139 personnes physiques est passé de 2,093 milliards
d'euros en 2021 à 1,723 milliard d'euros en 2022 (-21,5%). - 1.030.017
personnes physiques sont totalement exonérées du paiement de l'ENFIA. - 71.452 entreprises doivent payer un impôt
principal de 195,93 millions d'euros et 335,6 millions d'euros d'impôt
supplémentaire, le montant total qu'elles sont tenues de payer s'élevant à
531,53 millions d'euros.
TOURISME, CULTURE, VIE QUOTIDIENNE
Bulletin du 9 juin
La Grèce est la 5e marque touristique au monde, selon le
porte-parole du gouvernement, Yiannis Ikonomou
"Avec
un plan, la Grèce est la 5e marque (brand) touristique au monde", a
déclaré le porte-parole du gouvernement, Yiannis Ikonomou, mercredi sur Twitter.
"Les statistiques du secteur des croisières sont impressionnantes.
Selon l'Autorité portuaire de Thessalonique (OLTH), les arrivées de navires
de croisière ont augmenté de 250% cette semaine, contre une augmentation de
180% il y a quelques semaines", a-t-il souligné.
La Grèce et les Etats-Unis organisent une conférence sur les
océans
A
l'occasion de la Journée mondiale des océans, la Grèce, en coopération avec
les Etats-Unis, a annoncé mercredi l'organisation de la 9e conférence
internationale "Our Ocean Conference", qui se tiendra en Grèce en 2024. La
première conférence "Our Ocean" a eu
lieu en 2014 et est une initiative du secrétaire d'Etat américain de
l'époque et actuel secrétaire d'Etat aux affaires climatiques John Kerry,
selon un communiqué du département d'Etat. La conférence a également fait
l'objet d'une rencontre entre le ministre grec des Affaires étrangères Nicos Dendias et John Kerry à
Washington le 17 mai. Elle devrait se concentrer sur les moyens de faire
face aux effets du changement climatique, de la sur-pêche
et de la pollution marine. Les pays et les organisations non
gouvernementales seront représentés, alors qu'il vise à des engagements
pour protéger les mers. La protection et la préservation du milieu marin
constituent un chapitre distinct de la Convention des Nations Unies sur le
droit de la mer (chapitre 12), dont le respect est un principe fondamental
pour la Grèce.
Bulletin du 8 juin
L'incendie dans la banlieue balnéaire d'Athènes a brûlé 430 hectares,
selon des images satellites
L'incendie
qui s'est déclaré ce week-end dans les banlieues balnéaires d'Athènes de Glyfada, Voula et Vari a
brûlé 432,2
hectares de terres, selon un rapport publié mardi
par le service européen de gestion des urgences Copernicus
- Mapping, à l'aide des données collectées par
son satellite. Le service a été activé par la direction de la planification
et de l'intervention d'urgence du Secrétariat général de la protection
civile, dès que l'incendie a été maîtrisé, afin d'obtenir une estimation
précise des dégâts. Parmi les zones brûlées, quelque 300 hectares
étaient des terres reboisées, avec des arbres plantés dans les années 1970,
à la suite d'un grand incendie en 1974 qui avait brûlé tout le flanc sud du
mont Hymette. Le reste avait également été reboisé dans le passé mais avait
été brûlé à plusieurs reprises, de sorte que la végétation était
principalement basse. Des estimations des dégâts, notamment aux bâtiments
et aux infrastructures, sont également réalisées par les pompiers et les
services des collectivités locales. Jusqu'à présent, il semble que 11
bâtiments aient subi des dommages, principalement à l'extérieur. Une
voiture et une moto ont été complètement détruites et deux autres voitures
ont été endommagées par le feu.
Bulletin du 2 juin
La Grèce est un pays propice aux investissements, selon le
ministre du Tourisme
La Grèce
est un pays hospitalier pour les investissements, a déclaré mercredi le
ministre du Tourisme, Vassilis Kikilias, dans un message adressé à la communauté
internationale des investisseurs. M. Kikilias
s'adressait au forum d'investissement gréco-israélien
à Corinthe, dans le nouvel hôtel Brown, qui a débuté mercredi. S'adressant
à l'agence de presse athénienne macédonienne (ANA), M. Kikilias
a souligné que la Grèce entretient de bonnes relations avec Israël, le
tourisme étant le fer de lance de ces relations. Après tout, a-t-il
expliqué, les investisseurs israéliens investissent constamment en Grèce et
le nouvel hôtel de Corinthe le prouve. Invité à parler du nouvel
investissement et de ce qu'il signifie pour l'industrie du tourisme, M. Kikilias a évoqué le fait que les Israéliens
investissent dans des destinations qui ne sont pas déjà populaires, de
nouvelles destinations moins connues telles que Lavrio,
Evia, Loutraki et Agioi Theodoroi (Corinthe),
revalorisant ainsi le portefeuille hôtelier du pays. "C'est le
résultat des efforts du ministère, afin que toutes les régions de Grèce
reçoivent un dividende du tourisme", a souligné M. Kikilias.
Plus tôt, le cofondateur de Brown Hotel, Leon Avigad, a souligné que
cet investissement a été mis en oeuvre avec l'aide de l'Etat grec, en
mettant l'accent sur la fiscalité. Il a également évoqué la politique du
groupe, qui est liée à la vision d'investir dans des destinations qui n'ont
pas un grand développement touristique.
Bulletin du 27 mai
Le tourisme connaît une forte reprise avec une forte
augmentation des recettes, selon le ministre
Les
recettes du tourisme ont grimpé de 342% au cours des trois premiers mois de
2022 par rapport à la même période de l'année précédente, a révélé le
ministre du Tourisme, Vassilis Kikilias, dans une interview à l'émission télévisée
"Kalimera Ellada"
sur la chaîne ANT1. M. Kikilias a déclaré que les
arrivées avaient augmenté de 295% par rapport à 2021, tandis que les
destinations populaires comme les îles du sud et du sud-est de la mer Egée
avaient également connu une augmentation des arrivées de touristes et des
recettes en mai, d'environ 10% par rapport au même mois en 2019, avant la
pandémie. "Pour le mois de juin, nous attendions 500 navires de
croisière en Grèce. Ce sont des chiffres qui montrent qu'il y a vraiment un
fort flux touristique, qui se renforce de semaine en semaine", a
ajouté le ministre. Il a signalé un nombre record d'arrivées en provenance
des Etats-Unis, avec plus d'un demi-million
d'arrivées sur des vols directs, qui étaient passés à 63 par semaine depuis
le 7 mars. "Ce sont des « high spenders », qui laissent beaucoup de revenus dans
les magasins, les hôtels, la ville et le pays", a-t-il noté et indiqué
que plusieurs voyagistes internationaux signaient déjà des contrats pour
2023. Soulignant que la Grèce se classait au cinquième rang des "brands
touristiques" dans le monde, M. Kikilias a
déclaré que l'objectif stratégique du ministère du Tourisme était de
promouvoir des destinations nouvelles et moins connues, ainsi que le
tourisme de croisière, et d'améliorer le produit touristique même dans les
destinations non traditionnelles. "C'est parce que nous voulons que le
dividende du tourisme atteigne la famille grecque moyenne dans tous les
coins de notre pays", a-t-il déclaré. Il a annoncé que le budget du
programme de tourisme subventionné "Tourisme pour tous" de cette
année sera porté à 30 millions d'euros, le programme acquérant une nouvelle
forme et une nouvelle structure qui n'impliquent presque aucune
bureaucratie.
Bulletin du 25 mai
Mendoni: Les allégations du British Museum pour les sculptures du Partnenon
sont "non historiques"
La
ministre de la Culture et des Sports, Lina Mendoni,
a évoqué mardi les récentes allégations du British Museum
pour les frises du Parthénon, s'adressant à la radio "Parapolitika". Selon un communiqué du ministère de
la Culture, Mme Mendoni a qualifié de "non
historiques" les affirmations du British Museum
selon lesquelles les sculptures ont été trouvées dans les ruines du
Parthénon, d'où Elgin les a récupérées. "Ce sont des affirmations non
historiques. Il existe des preuves archéologiques indiscutables. Les
métopes ont été coupées. C'est-à-dire qu'après la coupe de la surface en
relief, le reste du corps a été abandonné et jeté, au moment où tous ces
vandalismes ont eu lieu au monument. Les plaques sciées sont sur l'Acropole.
Ce sont de drôles de choses. Ce sont des affirmations ridicules et ne
peuvent pas tenir. Depuis de nombreuses années, le ministère grec de la
Culture, le gouvernement grec et la communauté scientifique ont donné des
réponses claires", a déclaré la ministre et réitéré la position
permanente de la Grèce. "La Grèce n'accepte pas la propriété et
l'occupation du British Museum ou du Royaume-Uni,
précisément à cause des conditions dans lesquelles les sculptures ont été
volées". Mme Mendoni a également rappelé que
"les seules antiquités que la Grèce revendique sont les sculptures du
Parthénon, car d'une part elles ont été volées de cette manière et d'autre
part elles constituent une unité organique et intégrale du Parthénon, qui
est le symbole de la civilisation occidentale. La Grèce ne revendique rien
d'autre. Cela est clair. Elle ne revendique que la réunification des
sculptures du Parthénon", a-t-elle souligné. Enfin, la ministre a
qualifié de "bonne pratique" l'accord du gouvernement grec avec
le gouvernement autonome de Sicile et le consentement de la République
italienne pour le fragment de Fagan, tout en
réitérant que la Grèce est prête à engager un dialogue sincère et honnête
avec le Royaume-Uni.
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